mercredi 28 novembre 2007

Ka-mai


Bonjour à tous,

Une semaine après ma journée vidéo, me revoilà de retour sur ce blog qui pour l'instant, il faut bien le reconnaître, ne me prends pas un temps infini. Il faut dire que cet exercice reste pour moi quelque chose de pas naturel du tout. J'ai toujours aimé écrire mais rarement sur moi, et encore moins en en soumettant le résultat à d'autres, et pas du tout à des inconnus. C'est peut-être pour ça que mon autre blog, que je tiens depuis mars 2006 - déjà ! - ne parle absolument pas de moi :
http://doudou.blogspirit.com/. C'est un blog satirique sur le club que, il me faut l'avouer en ces temps délicats, je supporte au long court depuis quinze ans à présent, le PSG. Oui, dire ça c'est s'exposer non seulement au chambrage de ses amis et collègues de bureau - surtout quand vous travaillez dans la rédaction d'un site sportif... - mais aussi des médias, voire au delà. Mais si je ne supporte pas ce club en ce moment, je ne vois pas quand je le supporterai.

Bref, en fait ce n’est pas pour ça que j'ai repris la plume (heureusement diront certaines de mes lectrices, en tous cas les plus courageuses qui auront franchi ce premier barrage). Tiens d'ailleurs c'est drôle, cette expression, "reprendre la plume", totalement obsolète et inadéquate, a survécu au stylo, à la machine à écrire, au traitement de texte et à l'ordinateur. J'espère que le jour où on écrira directement de son cerveau à l'écran, et que nos mains seront définitivement atrophiées d'être trop inutiles, on l'utilisera encore.

Oui, j'ai un gros problème de digression quand j'écris, bien des gens vous en parleraient si vous les connaissiez. Ah ben vous les connaissez peut-être d'ailleurs.

Oui, donc, je disais... mon amour est rentré. Après plusieurs semaines passées dans sa famille, elle est revenue chez moi, et c'est bon. Son retour est toujours accompagné d'étranges sensations. D'abord, quelque soit le temps d'absence, j'ai toujours l'impression qu'elle n'est pas vraiment partie, dès l'instant ou elle est dans mes bras. Comme si elle était juste parti acheter un sandwich quoi.

Ensuite, je me sens recomposé, complété. Comme un puzzle à qui il manque juste une pièce, mais pas une de celles qui compose le ciel, inutile, non une au centre, qui empêche d'admirer l'image. Sans qui cette image n'est pas la même.

Et puis quand elle est là, bah mes bras sont tout le temps occupés. Câlins, câlins, câlins... pas de risque d'atrophie des membres supérieurs dans ces cas-là, ils revivent et se souviennent ce pourquoi ils ont été créés. Câlins.

Tiens, justement... je dois vous laisser. Câlin.

mercredi 21 novembre 2007

Le Feldmanthon


C'est ma journée vidéos aujourd'hui. Tout ça parce que mon amour, qui est une fée, m'a dévoilé le secret de la vidéo sur un blog. C'est tellement simple qu'on pourrait sérieusement douter qu'ils s'agisse juste d'informatique. Moi en tous cas j'en doute.

Voici la vidéo qui montre comment la carrière de François Feldman, qui était déjà au point mort en 1996, époque ou Jack Bauer devait retourner dans la rue pour avoir la CTU dans une cabine, s'est arrêtée définitivement. Même si ce pauvre gars, idole de ma mère dans les 80's en compagnie de Julien Clerc ou Adamo, peut toujours essayer autant de comeback qu'il veut, cette scène surréaliste le poursuivra toute sa vie. Dur métier que celui de chanteur populaire...

Sinon, je m'excuse pour le Laurent Boyer, au début.


24 en 1994

Bonjour à tous !

Ce matin, en écoutant le podcast de l'émission de Nagui et Manu d'hier (ce qui me permet de dormir le matin), j'ai entendu Manu parler d'une vidéo parodique sur 24, qui se passerait dix ans avant, à l'époque des bibops, du très bas débit et des imprimantes super lentes avec le truc à découper sur le côté. Je l'ai trouvée, et elle est à pisser de rire.

Notons juste que c'était y a seulement dix ans... et on dirait des hommes de Néenderthal. Prenons donc rendez-vous dans 10 ans, quand on rigolera de l'imac, de l'iphone ou du numérique...

La vidéo :

lundi 19 novembre 2007

Un vraie chorba


Vendredi soir, passant le week-end chez mes parents, qui vivent encore plus en banlieue que moi, aux environs de Mantes la Jolie, j'ai regardé le match de l'Equipe de France. Chose que je n'aurais pas pu faire si j'étais resté chez moi, vu que ma télé a rendu l'âme il y a deux mois. Au passage, si elle ne m'a absolument pas manqué depuis, il faut reconnaître que je me suis bien rattrapé ce week-end. Entre infos, foot et films, et sachant que je n'avais pas grand chose d'autre à faire, je suis resté scotché à la télé parentale. Pas de quoi être fier...

Donc les Bleus ont reçu le Maroc au SdF. Ce surnom qui m'a toujours fait rire, mais pas autant que le vrai nom. En France, quand on n’a pas d'idée pour nommer un truc, on met "de France" à côté, comme ça on est tranquille, ça fait bien et personne ne peut critiquer. Sauf peut-être pour la Bibliothèque Nationale de France, un peu trop surchargée question références nationales. Et ce n’est pas avec Sarkozy que ça va s'arranger. A quand la loi patriotique nationale de l'hexagone français qui sent bon le beaujolais et le tiercé ?

Donc les Bleus. Je digresse, je dis Grèce... c'était un match amical, qui plus est de préparation pour le prochain déplacement en Ukraine, qui depuis est devenu aussi important que le match pour la troisième place de la coupe du sud ouest de la Creuse. Sauf qu'en fait il paraît qu'il vaut mieux le gagner, histoire d'éviter le 3e chapeau au tirage au sort. Faut dire qu'avec la Suisse, la Grèce et l'Autriche comme têtes de série, ça nivelle tout de suite les valeurs.

Donc, qui dit match amical dit turn over, dit motivation diversifée chez les joueurs, et dit surtout adversaire motivé comme s'il jouait pour la dernière fois au foot. Notamment pour des équipes comme le Maroc, composée pour un bon tiers de joueurs de Ligue 1 et pour qui un match contre la France, au Stade de France et devant un public quasiment acquis à sa cause, est un évènement énorme. Logiquement, les Marocains ont donc fait une excellente impression, avec notamment des joueurs comme Sektioui ou Hadji, mais aussi Chamakh, qui possède la particularité très à la mode en France mais très énervante pour moi, d'être un avant-centre qui ne marque pas, qui court partout sauf devant le but. Aussi bon techniquement est-il, un attaquant qui marque 5 buts dans une saison, pour moi y a un problème. Il me fait d'ailleurs furieusement penser à Dugarry... lui aussi formé à Bordeaux.

Cette équipe du Maroc, encensée par les trois guignols de TF1, qui avait cependant moins impressionné en allant perdre 2-0 au Ghana juste avant…La MO-TI-VA-TION !!

La Marseillaise a été sifflée, donc forcément ça râle. Moi si j'avais vraiment que ça à faire - ce qui n'est pas complètement erroné d'ailleurs - je la sifflerais tout le temps cette m.... ! Je serai footballeur, j'aurais du mal à souhaiter qu'un sang impur abreuve nos sillons avant d'aller jouer au foot. Avant de faire quoique ce soit, du reste. Ces hymnes guerriers complètement débiles, qui ne sont pas majoritaires d'ailleurs, me débectent. Lisez ce que signifie le Haka, à l'apparence si agressive... c'est hyper paisible en fait comme chant. D'ailleurs c'est marrant mais moi c'est plutôt quand les mecs la chantent que ça m'énerve, j'imagine déjà Sarkozy et son mentor Le Pen se réjouir dans leurs fauteuils. Bref...

Au niveau des joueurs, difficile de juger une performance quand le but est surtout de ne pas se blesser. Landreau a payé son appartenance au PSG en se faisant descendre par une presse qui n'attendait que ça, après sa boulette sur le premier but. Rothen aussi, qui a fait ce qu'il a pu dans un rôle d'ailier gauche qui n'est pas le sien, lui qui est plutôt meilleur dans l'axe, derrière les attaquants. Il a malgré tout bien défendu et surtout enclenché l'action du but de Nasri... Nasri qui a bénéficié, toujours dans la presse, de la paternité d'une passe décisive inexistante, puisque c'est un Marocain qui tacle le ballon vers Govou... Marseille-Paris, deux poids deux mesures, comme d'habitude.

Le lendemain je me suis régalé devant Ecosse-Italie. J'aurais bien voulu être pour les Ecossais, habitants d'un pays que je rêve de visiter, mais ils nous ont quand même un peu trop fait suer dans ces éliminatoires, et surtout en cas de victoire italienne, la qualification française était assurée. Je suivrais d'ailleurs Raymond et ses joueurs sur ce point : si on se qualifie nous, et pas l'Ukraine ou les Iles Feroes, c'est qu'on avait su prendre 25 points, dont quatre contre cette même squadra, et pas grâce aux Italiens, comme on pouvait le lire absolument partout... Mais les raccourcis sont au journalisme ce que le golf est aux médecins. Une marotte.

A noter que je veux être journaliste... peut-être pour essayer d'en être un pas comme les autres. Oui c'est prétentieux, mais en même temps si tu dis "je veux être journaliste pour écrire comme eux", t'as l'air d'un con. D'ailleurs, plus que journaliste, je veux être écrivain quand je serai grand. Mais les écrivains ne vivent pas de ça, hormis 1 % du cheptel.

J’étais aussi un peu pour les Italiens afin de faire contrepoids à l’Italianophobie, à la mode dans le foot français depuis l’an passé, mais aussi parce que cette équipe d’Ecosse, aussi courageuse et enthousiaste soit-elle, ne sait pas vraiment jouer au football. Un type comme Pirlo est deux fois plus technique que toute l’équipe d’Ecosse à lui tout seul…

Bref donc là oui c'était un grand match, avec un enjeu, du suspense, des grands joueurs et un arbitrage tout pourri, comme dans beaucoup de grands matches d'ailleurs. L'arbitre qui a réussi l'exploit de refuser un but valable aux Italiens, d'en accorder un hors-jeu aux Ecossais et d'accorder un coup franc généreux aux Azzuri, sur le but de Panucci. Donc, si on calcule bien, si l'arbitre avait été bon il n'y aurait pas eu de suspense. Donc je confirme : un arbitrage pourri fait toujours le sel des grands matches.

Sérieux, si on ne met pas très vite la vidéo dans le foot, c'est la mort de ce sport. Ca va trop vite pour les arbitres, tout le monde voit leurs boulettes sauf eux, et ils se font descendre après. La vidéo ne va pas tout arranger, mais ça va aider un peu les arbitres à avoir l'air moins cons. Et en plus ça coûtera pas plus cher, puisqu'elles sont déjà là les caméras !

Sur ces quelques bonnes paroles, je vous laisse.

jeudi 15 novembre 2007

La grève expliquée aux cons


Bonsoir à tous,

En ce moment je ne travaille pas donc je n'ai pas à me déplacer, et donc je n'ai pas eu à en souffrir mais en ce moment c'est la grève en France. Je le dis au cas ou vous seriez dans mon cas, et que vous ne liriez ni le net, ni les journaux, ou n'écoutez la radio ou la télé. Et s'il y a une chose qu'on ne peut discuter, c'est le changement de mentalité envers cette institution vieille d'un siècle et demi, un des droits fondamentaux de l'homme à mon avis. Le Droit de Grève.

Ce n'est pas qu'un changement de regard, c'est plutôt que dans la foulée de Sarkozy, qui souhaitait une droite décomplexée, au point qu'aujourd'hui on recherche vainement une gauche du même type, les gens qui ont des idées peu avouables les avouent désormais, au point que ça en devient une véritable vague d'opinion. Aujourd'hui, une grève est vécue comme une agression aux yeux de la classe moyenne, celle qui vote parfois, et qui consomme beaucoup. Son quotidien habituellement réglé comme du papier à musique est en ce moment brouillé, c'est inacceptable. "Quoi, pas de train ? Les droits sociaux ? Et moi qui vais rentrer plus tard, qui vais devoir voyager dans un train bondé, au milieu de gens empuantis de parfums bon marché, vous en faites quoi ?"

Ca fait belle lurette que dans les JT, au moment d'une grève on interroge les pauvres usagers ou automobilistes bloqués dans les gares ou dans leurs voitures, "otages" des grèves, plutôt que les grévistes eux mêmes à propos de leurs revendications... Je me rappelle à l'école, quand on faisait grève déjà y avait des gosses qui nous traitaient de fainéants, ce qui prouve qu'on naît parfois de droite ou de gauche, qu'on peut avoir une conscience politique très jeune. Je ne crois pas que ce soit un changement d'opinion, c'est juste qu'aujourd'hui, plus que jamais, encouragés par la télé réalité, les sportifs et même parfois la politique, les cons osent l'ouvrir, disent des conneries - ce sont des cons, ne l'oublions pas - et l'assument, sous le regard émerveillé des télévisions, toujours plus friandes d'"authenticité", de "vrais gens". Ils sont authentiques, donc ils ont de la vérité plein la bouche, logique. Pourquoi on y avait pas pensé avant ?

Aujourd'hui, Steevy est un analyste politique, Pascal Nègre un critique musical et Bernard Laporte est ministre de la République. Ce sont nos philosophes d'aujourd'hui. Il y eut une époque ou ces derniers, comme Malraux ou Sartre, des écrivains qui savaient penser, bénéficiaient d'une parole écoutée, respectée... voire appliquée. Aujourd'hui, ils ne sont plus que chair à tarte à la crème ou client pour la jet set.

Et la grève, ça fait chier, paraît. Pas une voix, notamment à gauche - soit ils savent plus parler, soit ils arrivent pas à trouver un micro pour le faire, je pencherais pour une explication hybride, dans un pays ou les meilleurs amis du président sont des patrons de presse et de média - pour rappeler les sacrifices de dizaines de milliers d'ouvriers pour obtenir ce droit. Des gens qui ont été fusillés pour avoir seulement le droit de défendre le leur, de droit. D'avoir des vacances, de travailler moins de 40 heures par semaine pour pouvoir s'occuper de sa famille. Etre mieux payé, ne pas être traité comme du papier toilette, être respecté. Renier, voire réduire le droit de grève, par le service minimum notamment, c'est comme renier le droit de vote, le minimiser par des paroles du genre "j'avais mieux à faire", "tous pourris", "c'est pas ma voix qui va changer grand chose"...

Le front populaire de 1936, en pleine montée du fascisme en Europe - TOUTE l'Europe - , ce n'était pas de la gnognotte, c'était ça la véritable révolution, peut-être plus que celle organisée en 1789 par les bourgeois pour pouvoir avoir leur part du gâteau, accaparée jusque là pour la noblesse et le clergé. 1936, anniversaire absolument ignoré l'an passé. Les congés payés, ce sont nos vieux qui les ont obtenus, ce n'est pas tombé du ciel. 1936, pas à la mode, au pays de la droite décomplexée, du retour à l'ordre moral, du recul sur les droits sociaux. Au pays de TF1, de RTL et du Figaro, du tiercé et du beaujolais. Au pays de Bataille et Fontaine, de Pernaut, de Bouvard. Dans un pays de droite, quoi.

Il ne fait pas bon vivre en France, même si ce n'est pas spécialement mieux ailleurs, ce qui n'est pas antinomique. Difficile de discuter avec les gens quand les deux tiers d'entre eux ne sont pas de votre avis. Mais justement, c'est là que ça a le plus de sens, c'est quand on a la majorité contre vous - elle n'a pas toujours raison, malheureusement - qu'il faut plus que jamais être déterminé. Alors ce n'est pas demain que je quitterai le parti des grévistes, des révoltés, des insoumis, des humanistes. Des pieds écrasés dans un wagon surchauffé valent bien des milliers d'années d'exploitation sociale...

Billou.

mercredi 14 novembre 2007

Au commencent...


... il y avait moi, Billou, pour vous
servir, bien à vous. J'ai un peu plus de trente ans, comme le titre de ce blog l'annonce si pompeusement. J'habite dans une banlieue de Paris qui ne ressemble pas du tout à une banlieue, celle que je connais un peu mieux sans la connaître vraiment, celle qui passe en boucle à la télé juste avant chaque élection présidentielle afin de faire voter les gens en faveur du pote du patron. Cette banlieue s'appelle Maisons Laffitte, et même si y a peu de chance que votre voiture y crame, je ne vous la conseille pas car il n'y a pas grand chose à y voir ou y faire, si ce n'est marcher dans le parc ou aller au tiercé.

Heureusement, à dix minutes à pied de chez moi il y a une gare, et dans cette gare passent et souvent s'arrêtent à la fois le RER A et le Transilien, qui m'emmènent donc dans une ville polluée certes, blindée de bagnoles très certainement, et aux loyers des plus prohibitifs, soit, sinon j'y habiterais, mais magnifique, vivante, remplie d'histoire et carrément mythique même, j'ai nommé Paris. La seule, l'unique, la véritable, souvent imitée, jamais égalée, Paris outragée, Paris martyrisée mais Paris... etc. Une ville que je ne cesse de parcourir depuis 7 ans, mais qui me réserve toujours une surprise au coin d'une rue. Tenez, j'ai encore découvert un square samedi soir, près de la rue Vintimille, vers la place Clichy. On peut y voir briller le haut du Sacré Coeur le soir, quand il fait nuit tôt comme en ce moment.

En dehors de ça, comme de bien entendu je passe beaucoup de mon temps sur le net, j'essaie de travailler (ce sujet fera prochainement l'objet d'un post, au moins) et... voilà. J'habite dans une petite chambre de 14 m² en ras de sol, et depuis plus de quatre ans que je suis ici, je n'ai quasiment jamais dit autre chose que bonjour et au revoir à mes voisins. Non pas qu'ils soient méchants, hautains ou quoique ce soit... même si ils en ont furieusement l'air, comment le saurais-je ? C'est juste que je le sens pas, et puis je ne suis pas assez vieux pour m'en faire des amis, et plus assez jeune pour m'entendre avec leurs gosses...

Amandine, celle qui me fait l'honneur de partager mes sentiments, mes jours et quelques nuits, doit bientôt revenir de sa province ou elle était chez sa famille. Inutile de dire que je me languis de son retour. Je me languis de beaucoup de choses en ce moment, d'ailleurs. Il faut dire que s'il y a un trait de caractère qui ne saurait s'appliquer à ma personne, c'est bien "patient". A peu près à égalité avec "ordonné", "organisé" "de bonne humeur", "riche", "chevelu" ou "svelte". Voilà qui est un bon début pour me décrire, il faudra vous en contenter pour le moment.

Mon impatience légendaire est donc particulièrement mise à mal actuellement, car contrairement à d'habitude il devrait se passer quelque chose de positif prochainement dans ma vie. Normalement c'est sûr, à 99 %, mais avec moi il faut s'attendre à tout, rien n'est acquis d'avance. C'est pour ça que, de façon complètement supersticieuse, je vais m'abstenir de raconter ce que c'est, j'attendrai que ce soit officiel. Et pourtant Dieu sait que ça me démange d'en parler, vous ne pouvez pas imaginer. Pour être honnête, j'ai bien failli vous le dire dans ce post, voire le suivant, mais à chaque fois que je m'apprête à le raconter, un truc me retient. La peur que ça se casse la gueule, que tout s'écroule, qu'un autre truc arrive qui fasse tout capoter. La cata.

Donc ce blog... sera pas seulement là pour parler de moi, sinon il va être compliqué à remplir. De mon amour aussi, de mes amis, mon taf, et surtout mes coups de gueule, des billets d'humeur. Oh et puis ça fait partie de moi tout ça non ? Un truc qui me marque, hop rendez-vous ici. Tout le monde le fait, pourquoi pas moi ? Ce n'est pas ma première tentative de blog, certes, mais elle a le mérite d'exister, et qui sait, peut-être que celle-ci perdurera !

Allez, c'est tout pour ce soir.

Billou