Dernier jour... et oui, il en faut bien un. C'est le Yang du Yin, le
début quoi. Ce qui n'empêchera pas mon appareil photo de chauffer.
Vu qu'on prends l'avion en fin d'après-midi mais qu'on veut quand même bien profiter de chaque heure, on laisse nos bagages dans l'appart pour filer voir la ville du haut de l'immeuble le plus mythique de tous les temps, l'Empire State Building.
Quatre cent mètres de haut, 102 étages, et une vue exceptionnelle, sous un soleil divin. Je crois que j'ai pris tellement de photos, malgré la foule sidérante présente avec nous, que je n'ai pas du échapper un seul petit centimètre carré de la ville, et au-delà. Y a eu des vues que j'ai prises trois ou quatre fois, mais l'idée de supprimer les doublons m'est inacceptable : chaque cliché est différent. On est en ville au milieu de centaines de buildings, mais on voit l'arrondi de la terre, c'est quand même pas banal. Mais les mots sont forcément inutiles pour décrire cette matinée, le mieux c'est de regarder les photos, qui ne sont pas parfaites mais bon. Juste un truc : merci à Norbert le pigeon pour ses poses très naturelles, on sent le kéké habitué aux touristes qui aime l'objectif. Autre chose : j'aime quand je termine par le meilleur. Seul bémol, du haut de l'Empire State Building, on ne voit pas l'Empire State Building, qui est une merveille architecturale.
Retour sur Terre. On va faire un tour à l'immense Macy's, un des très grands magasins de la ville, dans les entrailles duquel je mets bien une demi-heure pour trouver les toilettes. On continue vers le Madison Square Garden, que je ne crois pas avoir besoin de présenter a priori. C'est surement très impressionnant à l'intérieur, mais très décevant de l'extérieur, surtout quand la veille on a admiré la magnifique façade du flambant neuf Barclays Center. C'est pas très grand, c'est rond, gris, moche... ils font bien de le détruire dans Godzilla, tiens.
Après une petite pause sur les marches d'un grand bâtiment postal voisin, on file rassasier nos estomacs pour notre dernier repas New-yorkais, une nouvelle fois succulent, peut-être un de mes préférés, si ce n'est la demi-heure d'attente qu'il nous a fallu pour atteindre les guichets de Shake Shack ! Quel régal ! On est à Madison square, au pied du Flatiron, que vous commencez à connaître maintenant. Le concept - une fois qu'on a commandé, on va s'asseoir, on nous donne un petit appareil qui vibre quand c'est prêt, et on récupère notre bouffe - est original, mais c'est surtout que c'est très, très, très bon. Les hamburgers, les frites, la sauce... tout. Y a un resto à Bercy qui a repris le concept, faut que j'y retourne d'urgence...
Et puis voilà, faut qu'on y aille. On a encore du temps, alors on y va à pied, on fait une (longue) halte dans un magasin de chaussures, on passe par Little Italy qui est une arnaque à touriste totale, vu que les Chinois voisins ont tout racheté - suffit de lire Spirou à New York - , on évite le clochard qui dort en travers de notre porte d'immeuble et voilà, direction l'aéroport. C'est triste, alors je vous épargne les détails. On fini épuisés dans la navette qui nous ramène de Roissy jusqu'à Nation... à peine décalqués. Je bosse dans quelques heures.
A bientôt j'espère ! J'espère que vous avez apprécié !
Vu qu'on prends l'avion en fin d'après-midi mais qu'on veut quand même bien profiter de chaque heure, on laisse nos bagages dans l'appart pour filer voir la ville du haut de l'immeuble le plus mythique de tous les temps, l'Empire State Building.
Quatre cent mètres de haut, 102 étages, et une vue exceptionnelle, sous un soleil divin. Je crois que j'ai pris tellement de photos, malgré la foule sidérante présente avec nous, que je n'ai pas du échapper un seul petit centimètre carré de la ville, et au-delà. Y a eu des vues que j'ai prises trois ou quatre fois, mais l'idée de supprimer les doublons m'est inacceptable : chaque cliché est différent. On est en ville au milieu de centaines de buildings, mais on voit l'arrondi de la terre, c'est quand même pas banal. Mais les mots sont forcément inutiles pour décrire cette matinée, le mieux c'est de regarder les photos, qui ne sont pas parfaites mais bon. Juste un truc : merci à Norbert le pigeon pour ses poses très naturelles, on sent le kéké habitué aux touristes qui aime l'objectif. Autre chose : j'aime quand je termine par le meilleur. Seul bémol, du haut de l'Empire State Building, on ne voit pas l'Empire State Building, qui est une merveille architecturale.
Retour sur Terre. On va faire un tour à l'immense Macy's, un des très grands magasins de la ville, dans les entrailles duquel je mets bien une demi-heure pour trouver les toilettes. On continue vers le Madison Square Garden, que je ne crois pas avoir besoin de présenter a priori. C'est surement très impressionnant à l'intérieur, mais très décevant de l'extérieur, surtout quand la veille on a admiré la magnifique façade du flambant neuf Barclays Center. C'est pas très grand, c'est rond, gris, moche... ils font bien de le détruire dans Godzilla, tiens.
Après une petite pause sur les marches d'un grand bâtiment postal voisin, on file rassasier nos estomacs pour notre dernier repas New-yorkais, une nouvelle fois succulent, peut-être un de mes préférés, si ce n'est la demi-heure d'attente qu'il nous a fallu pour atteindre les guichets de Shake Shack ! Quel régal ! On est à Madison square, au pied du Flatiron, que vous commencez à connaître maintenant. Le concept - une fois qu'on a commandé, on va s'asseoir, on nous donne un petit appareil qui vibre quand c'est prêt, et on récupère notre bouffe - est original, mais c'est surtout que c'est très, très, très bon. Les hamburgers, les frites, la sauce... tout. Y a un resto à Bercy qui a repris le concept, faut que j'y retourne d'urgence...
Et puis voilà, faut qu'on y aille. On a encore du temps, alors on y va à pied, on fait une (longue) halte dans un magasin de chaussures, on passe par Little Italy qui est une arnaque à touriste totale, vu que les Chinois voisins ont tout racheté - suffit de lire Spirou à New York - , on évite le clochard qui dort en travers de notre porte d'immeuble et voilà, direction l'aéroport. C'est triste, alors je vous épargne les détails. On fini épuisés dans la navette qui nous ramène de Roissy jusqu'à Nation... à peine décalqués. Je bosse dans quelques heures.
A bientôt j'espère ! J'espère que vous avez apprécié !