Salut à tous,
Comme vous le savez, je fonctionne en général par coups de cœur, et une fois tombé dans un truc je m'y engage à fond, démesurément, excessivement. Ces phases sont des cycles où je perds parfois toute mesure, je ne pense qu'à ça, je vis ça, je mange ça, je dors ça, et puis un jour, pouf, ça s'arrête. Et plus tard, quand je regarde ces phases un peu dingue, je me demande ce qu'il m'a pris à ce moment là. Mais je n'y peux rien, je ne peux pas aimer quelque chose ou quelqu'un à peu près, à moitié. Dès que je sais que j'aime quelque chose, je m'y dévoue à 200 %. Même de dire ça, c'est excessif, alors vous voyez. Je ne connais pas la demi mesure.
En ce moment, je suis dans ma période Assassin's Creed. Je vous entends déjà chambrer. "Ok, encore un jeu vidéo... tu nous a déjà fais le coup avec "Call of Juarez". Je parie que c'est un jeu génial et qu'en plus c'est historique, donc t'adores encore plus, c'est ça ? Mouarf". Ben ouais, c'est exactement ça. Si vous savez déjà tout ce que je vais écrire, vous pouvez aller voir ailleurs.
Un Ninja à Jérusalem
Effectivement, en plus d'être une série de jeux assez exceptionnels sur le plan graphique, des options de combat, etc - pour ça, je suis loin d'être un spécialiste, mais je sais apprécier un bon jeu - c'est un jeu qui se déroule principalement dans le passé, durant des évènements historiques parfois méconnus, ou mal connus. Exemple type, le Révolution Américaine : ok, vous savez qu'il y a eu une Révolution Américaine un peu avant la notre, de Révolution, mais à part ça ? Est-ce que nous, Français, qui n'étudions à l'école que notre propre Histoire, et déjà avec des résultats peu probants en général, pouvons citer ne serait-ce que deux ou trois évènements précis de cette période ? Ok y a eu la Boston Tea Party... et puis ? Des noms de batailles ? Monmouth, Concord, Chesapeake ? Ces noms là, je ne les connaissais pas. Je les connais, maintenant, grâce à Assassin's Creed. Tout comme je connais la capitale de Malte ou les villes de Leverkusen ou Luzenac grâce au foot, par exemple. Les jeux vidéos, le foot, ces trucs qui sont sensés vous abrutir mais qui, à l'image également de la télé, peuvent vous permettre d'apprendre également des choses. Suffit de bien choisir. C'est sur que c'est pas en regardant les Ch'tis à Cancun que vous apprendrez le nom de Jérôme Savonarola.
Décrire les concept du jeu est déjà une gageure en soi. Il y a eu six opus, à ma connaissance, et j'en suis déjà à cinq personnages différents. Il y en a un qui évolue dans notre époque, Desmond Miles, un type normal capturé par une société qui va chercher à exploiter les souvenirs de ses ancêtres pour trouver des artefacts précieux. Et il y a ses ancêtres, tous des Assassins, une confrérie qui lutte depuis toujours contre les Templiers, ces derniers cherchant à imposer leur point de vue au monde, Assassins qui évoluent dans des époques différentes. Il y a Altaïr (je ne vous mets pas son nom exact, j'ai la flemme), qui est le héros du premier opus et qui évolue durent les Croisades. J'avais déjà envie de jouer à ce jeu justement parce qu'il se déroulait durant cette période assez incroyable où deux mondes si différents se sont affrontés. Un peu comme maintenant, en fait. C'est là, quand j'ai enfin réussi à y jouer après plusieurs tentatives infructueuses sur mes anciens ordis, que le virus s'est inoculé.
Donc Altaïr se balade et remplis des missions dans trois villes différentes du Moyen-Orient, Damas, Acre et Jérusalem. Et on se régale. Les reconstitutions sont exceptionnelles, les villes sont splendides, en plus du fait de contrôler un personnage qui passe son temps à sauter de toit en toit, et qui tue ses cibles discrètement grâce à une lame secrète dissimulée dans sa manche. Un kiff total.
En plein dans l'Histoire
Puis dans les trois suivants, Assassin's Creed II, Assassin's Creed Brotherhood et Assassin's Creed Revelations, on fait un bond dans le temps. On évolue désormais durant la Renaissance italienne, à Venise et Florence d'abord, puis à Rome, et enfin à Constantinople, dans la peau d'Ezio Auditore, un jeune florentin qu'on suivra jusqu'à la mort, quasiment. Fils d'Assassin, il voit sa famille décimée sous ses yeux par les Templiers, et décide d'embrasser la même profession que son paternel. Trois épisodes absolument exceptionnels. Là encore, les reconstitutions de bâtiments - qu'on escalade tous à un moment où à un autre - sont géniales. On visite le palais de Topkapi, le Colisée, les canaux de Venise, le Dôme de Florence, ainsi qu'une multitude d'églises et de palais tous plus magnifiques les uns que les autres. Et à chaque fois, on peut arrêter le jeu pour consulter une base de données sur chaque évènement, chaque lieu, qu'on traverse. Les personnages historiques, aussi. On affronte les Borgias, père et fil(le)s, Savonarola, donc, Leonardo da Vinci nous construit des armes révolutionnaires, et nous fais profiter de sa fameuse aile volante, qui nous permet de survoler Venise dans une scène absolument incroyable. On rencontre Machiavel, le Prince Suleyman à Constantinople... j'en oublie. Évidement, on est impliqué dans tous ces évènements : c'est nous qui tuons Pazzi à Florence, Cesare Borgia à la bataille de Viana, etc. Je ne peux tout simplement pas vous raconter tout ce qu'on apprends durant ces jeux. Un régal, je vous dis.
Ensuite on passe à Assassin's Creed III, même si c'est le cinquième opus... tout simplement parce qu'on passe à une autre époque, un autre lieu et donc à un autre personnage. Deux, en fait. Cette fois, on va vivre de façon extrêmement réaliste la Guerre de Sept ans - vous savez, la guerre entre Anglais et Français en Amérique du Nord, dans les années 1750, cadre du film "le Dernier des Mohicans" - mais surtout la Révolution Américaine, 20 ans plus tard. On débute avec un Anglais, Haytham Kenway, qui part dans les colonies américaines pour trouver un truc, trop compliqué pour vous expliquer. Mais bon, il va en Amérique, il arrive à Boston, encore une fois merveilleusement bien reconstituée, et il va lui arriver une série d'aventures, dans la ville mais surtout dans la nature alentour, appelée la Frontière, où il rencontrera une jeune indienne Mohawk, de qui il tombera amoureux. Sauf qu'à un moment, on se rend compte qu'en fait, Kenway, ce personnage qu'on dirigeait, est un... Templier. Stupeur. Un méchant, quoi.
Passent une demi douzaine d'années, et on se retrouve dans la peau du fils qu'il a eu avec l'Indienne, Ratonhnhaké:ton (je ne le dirais qu'une seule fois), qui assiste à la destruction de son village et à la mort de sa mère, apparemment par les Templiers encore, et notamment Charles Lee, l'aide de camp de Haytham, qui lui est devenu le chef des Templiers en Amérique. Devenu adolescent, Ratonhnhaké:ton (ah ben je l'ai redis, merci ctrl v) part rencontrer un vieil assassin boiteux qui va l'entraîner pour devenir un vrai Assassin, en plus de lui donner un prénom qui ne nécessite pas de faire un copier coller, Connor. S'en suit une série d'évènements, Connor va rechercher tous les chefs Templiers et les éliminer un par un, tout en s'impliquant à fond dans la Révolution, en participant à plein de batailles extrêmement bien reconstituées encore une fois, en rencontrant Benjamin Franklin (enfin lui c'est son père qui l'a rencontré), Washington, La Fayette... une fois de plus, on apprends une tonne de choses. Et on se régale dans le jeu, les combats sont énormes, on dirige un bateau pour des missions en mer, des batailles navales, on saute d'arbres en arbres dans la forêt, dans laquelle on chasse également (oui oui, je chasse... en même temps j'assassine des gens aussi, ce que je n'aimerais pas faire non plus en vrai...).
Je ne peux pas vous dire comment cet opus se termine, parce que je l'ai pas tout à fait fini. Enfin si, je sais comment il se termine, vu que je suis allé voir sur Wikipedia... je ne pouvais pas résister. C'est pas grave d'être spoilé pour un jeu.
...
Bon si un peu, mais c'était plus fort que moi.
Bref, je sais que le suivant, Assassin's Creed IV : Black Flag, qui coute encore 50 euros donc je vais attendre un peu avant de l'acheter - en général ils passent à 20 euros dans les deux années qui suivent leur sortie... - se déroule un peu avant le III, et là on dirige le père d'Haytham Kenway, lui aussi un Assassin, et le jeu se déroule, comme son nom l'indique, dans le monde de la piraterie. Et enfin, le prochain va à priori se dérouler... à Paris. Sans doute pendant la Révolution... c'est peu dire que j'ai une hâte folle de pouvoir y jouer.
Seul problème, je suis tellement dedans que ça passe trop vite. Les deux derniers opus, avant celui que je suis en train de finir, je les ai terminé en cinq jours... Revelations, je ne le trouvais pas dans les magasins, bizarrement, alors je l'ai commandé sur Amazon, truc que je ne fais jamais... mais il fallait absolument que je l'ai. Cinq jours plus tard, je l'avais terminé. Je passe un temps fou dessus, je m'énerve de façon terrible si je reste bloqué à un endroit, vous me connaissez... Bref, j'ai la tête, les deux épaules et le bide dedans. Quand j'aurais fini le III, dans les prochains jours je pense, va y avoir comme un grand vide. Vivement qu'ils baissent les prix de Black Flag...
Je vous laisse, faut que je retourne en 1781...
Comme vous le savez, je fonctionne en général par coups de cœur, et une fois tombé dans un truc je m'y engage à fond, démesurément, excessivement. Ces phases sont des cycles où je perds parfois toute mesure, je ne pense qu'à ça, je vis ça, je mange ça, je dors ça, et puis un jour, pouf, ça s'arrête. Et plus tard, quand je regarde ces phases un peu dingue, je me demande ce qu'il m'a pris à ce moment là. Mais je n'y peux rien, je ne peux pas aimer quelque chose ou quelqu'un à peu près, à moitié. Dès que je sais que j'aime quelque chose, je m'y dévoue à 200 %. Même de dire ça, c'est excessif, alors vous voyez. Je ne connais pas la demi mesure.
En ce moment, je suis dans ma période Assassin's Creed. Je vous entends déjà chambrer. "Ok, encore un jeu vidéo... tu nous a déjà fais le coup avec "Call of Juarez". Je parie que c'est un jeu génial et qu'en plus c'est historique, donc t'adores encore plus, c'est ça ? Mouarf". Ben ouais, c'est exactement ça. Si vous savez déjà tout ce que je vais écrire, vous pouvez aller voir ailleurs.
Un Ninja à Jérusalem
Effectivement, en plus d'être une série de jeux assez exceptionnels sur le plan graphique, des options de combat, etc - pour ça, je suis loin d'être un spécialiste, mais je sais apprécier un bon jeu - c'est un jeu qui se déroule principalement dans le passé, durant des évènements historiques parfois méconnus, ou mal connus. Exemple type, le Révolution Américaine : ok, vous savez qu'il y a eu une Révolution Américaine un peu avant la notre, de Révolution, mais à part ça ? Est-ce que nous, Français, qui n'étudions à l'école que notre propre Histoire, et déjà avec des résultats peu probants en général, pouvons citer ne serait-ce que deux ou trois évènements précis de cette période ? Ok y a eu la Boston Tea Party... et puis ? Des noms de batailles ? Monmouth, Concord, Chesapeake ? Ces noms là, je ne les connaissais pas. Je les connais, maintenant, grâce à Assassin's Creed. Tout comme je connais la capitale de Malte ou les villes de Leverkusen ou Luzenac grâce au foot, par exemple. Les jeux vidéos, le foot, ces trucs qui sont sensés vous abrutir mais qui, à l'image également de la télé, peuvent vous permettre d'apprendre également des choses. Suffit de bien choisir. C'est sur que c'est pas en regardant les Ch'tis à Cancun que vous apprendrez le nom de Jérôme Savonarola.
Décrire les concept du jeu est déjà une gageure en soi. Il y a eu six opus, à ma connaissance, et j'en suis déjà à cinq personnages différents. Il y en a un qui évolue dans notre époque, Desmond Miles, un type normal capturé par une société qui va chercher à exploiter les souvenirs de ses ancêtres pour trouver des artefacts précieux. Et il y a ses ancêtres, tous des Assassins, une confrérie qui lutte depuis toujours contre les Templiers, ces derniers cherchant à imposer leur point de vue au monde, Assassins qui évoluent dans des époques différentes. Il y a Altaïr (je ne vous mets pas son nom exact, j'ai la flemme), qui est le héros du premier opus et qui évolue durent les Croisades. J'avais déjà envie de jouer à ce jeu justement parce qu'il se déroulait durant cette période assez incroyable où deux mondes si différents se sont affrontés. Un peu comme maintenant, en fait. C'est là, quand j'ai enfin réussi à y jouer après plusieurs tentatives infructueuses sur mes anciens ordis, que le virus s'est inoculé.
Donc Altaïr se balade et remplis des missions dans trois villes différentes du Moyen-Orient, Damas, Acre et Jérusalem. Et on se régale. Les reconstitutions sont exceptionnelles, les villes sont splendides, en plus du fait de contrôler un personnage qui passe son temps à sauter de toit en toit, et qui tue ses cibles discrètement grâce à une lame secrète dissimulée dans sa manche. Un kiff total.
En plein dans l'Histoire
Puis dans les trois suivants, Assassin's Creed II, Assassin's Creed Brotherhood et Assassin's Creed Revelations, on fait un bond dans le temps. On évolue désormais durant la Renaissance italienne, à Venise et Florence d'abord, puis à Rome, et enfin à Constantinople, dans la peau d'Ezio Auditore, un jeune florentin qu'on suivra jusqu'à la mort, quasiment. Fils d'Assassin, il voit sa famille décimée sous ses yeux par les Templiers, et décide d'embrasser la même profession que son paternel. Trois épisodes absolument exceptionnels. Là encore, les reconstitutions de bâtiments - qu'on escalade tous à un moment où à un autre - sont géniales. On visite le palais de Topkapi, le Colisée, les canaux de Venise, le Dôme de Florence, ainsi qu'une multitude d'églises et de palais tous plus magnifiques les uns que les autres. Et à chaque fois, on peut arrêter le jeu pour consulter une base de données sur chaque évènement, chaque lieu, qu'on traverse. Les personnages historiques, aussi. On affronte les Borgias, père et fil(le)s, Savonarola, donc, Leonardo da Vinci nous construit des armes révolutionnaires, et nous fais profiter de sa fameuse aile volante, qui nous permet de survoler Venise dans une scène absolument incroyable. On rencontre Machiavel, le Prince Suleyman à Constantinople... j'en oublie. Évidement, on est impliqué dans tous ces évènements : c'est nous qui tuons Pazzi à Florence, Cesare Borgia à la bataille de Viana, etc. Je ne peux tout simplement pas vous raconter tout ce qu'on apprends durant ces jeux. Un régal, je vous dis.
Ensuite on passe à Assassin's Creed III, même si c'est le cinquième opus... tout simplement parce qu'on passe à une autre époque, un autre lieu et donc à un autre personnage. Deux, en fait. Cette fois, on va vivre de façon extrêmement réaliste la Guerre de Sept ans - vous savez, la guerre entre Anglais et Français en Amérique du Nord, dans les années 1750, cadre du film "le Dernier des Mohicans" - mais surtout la Révolution Américaine, 20 ans plus tard. On débute avec un Anglais, Haytham Kenway, qui part dans les colonies américaines pour trouver un truc, trop compliqué pour vous expliquer. Mais bon, il va en Amérique, il arrive à Boston, encore une fois merveilleusement bien reconstituée, et il va lui arriver une série d'aventures, dans la ville mais surtout dans la nature alentour, appelée la Frontière, où il rencontrera une jeune indienne Mohawk, de qui il tombera amoureux. Sauf qu'à un moment, on se rend compte qu'en fait, Kenway, ce personnage qu'on dirigeait, est un... Templier. Stupeur. Un méchant, quoi.
Passent une demi douzaine d'années, et on se retrouve dans la peau du fils qu'il a eu avec l'Indienne, Ratonhnhaké:ton (je ne le dirais qu'une seule fois), qui assiste à la destruction de son village et à la mort de sa mère, apparemment par les Templiers encore, et notamment Charles Lee, l'aide de camp de Haytham, qui lui est devenu le chef des Templiers en Amérique. Devenu adolescent, Ratonhnhaké:ton (ah ben je l'ai redis, merci ctrl v) part rencontrer un vieil assassin boiteux qui va l'entraîner pour devenir un vrai Assassin, en plus de lui donner un prénom qui ne nécessite pas de faire un copier coller, Connor. S'en suit une série d'évènements, Connor va rechercher tous les chefs Templiers et les éliminer un par un, tout en s'impliquant à fond dans la Révolution, en participant à plein de batailles extrêmement bien reconstituées encore une fois, en rencontrant Benjamin Franklin (enfin lui c'est son père qui l'a rencontré), Washington, La Fayette... une fois de plus, on apprends une tonne de choses. Et on se régale dans le jeu, les combats sont énormes, on dirige un bateau pour des missions en mer, des batailles navales, on saute d'arbres en arbres dans la forêt, dans laquelle on chasse également (oui oui, je chasse... en même temps j'assassine des gens aussi, ce que je n'aimerais pas faire non plus en vrai...).
Je ne peux pas vous dire comment cet opus se termine, parce que je l'ai pas tout à fait fini. Enfin si, je sais comment il se termine, vu que je suis allé voir sur Wikipedia... je ne pouvais pas résister. C'est pas grave d'être spoilé pour un jeu.
...
Bon si un peu, mais c'était plus fort que moi.
Bref, je sais que le suivant, Assassin's Creed IV : Black Flag, qui coute encore 50 euros donc je vais attendre un peu avant de l'acheter - en général ils passent à 20 euros dans les deux années qui suivent leur sortie... - se déroule un peu avant le III, et là on dirige le père d'Haytham Kenway, lui aussi un Assassin, et le jeu se déroule, comme son nom l'indique, dans le monde de la piraterie. Et enfin, le prochain va à priori se dérouler... à Paris. Sans doute pendant la Révolution... c'est peu dire que j'ai une hâte folle de pouvoir y jouer.
Seul problème, je suis tellement dedans que ça passe trop vite. Les deux derniers opus, avant celui que je suis en train de finir, je les ai terminé en cinq jours... Revelations, je ne le trouvais pas dans les magasins, bizarrement, alors je l'ai commandé sur Amazon, truc que je ne fais jamais... mais il fallait absolument que je l'ai. Cinq jours plus tard, je l'avais terminé. Je passe un temps fou dessus, je m'énerve de façon terrible si je reste bloqué à un endroit, vous me connaissez... Bref, j'ai la tête, les deux épaules et le bide dedans. Quand j'aurais fini le III, dans les prochains jours je pense, va y avoir comme un grand vide. Vivement qu'ils baissent les prix de Black Flag...
Je vous laisse, faut que je retourne en 1781...
3 commentaires:
T'en parle avec passion n'est certain. Mais j'ai bien peur que vous soyez une poignet de joueurs à apprécier les qualités historiques de ce jeu. Les bourrins boutonneux y voient juste de la baston j'imagine. C'est bien dommage.
Ce serait mentir que le côté bourrin me fait aussi kiffer quand c'est le cas... surtout que les combats sont parfois assez gores. Remarque tu peux choisir la version sans le sang :p Bref je kiffe les deux, c'est pas que Street Fighter quoi !
Alors là t'as écrit cet article quelques jours trop tard !!! Si j'avais su ... Pour ton anniversaire ! Raaaah
En tout cas, tu racontes bien ça ferait presque envie !!!
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