Salut à tous !
Pour changer un peu des posts sur les grands problèmes de ce monde (Tibet, Sarkozy, le PSG...) et après une nouvelle période sans le moindre post à vous soumettre, je vais me mettre à parler de moi, et de ma vie en particulier.
Le moins que l'on puisse dire, et mes amis vous le diraient évidemment mieux que moi, c'est que parler de moi est comparable à la difficulté que ressentirait Luis Fernandez à parler du modèle scolaire finlandais. Sauf que lui ce serait un empêchement logique, alors que moi... c'est logique aussi, simplement je suis vraiment mal à l'aise avec ça, je n'aime vraiment pas ça du tout. Autant demander à Jamel de vous montrer sa main... non l'autre ! Bref.
Ce n'est pas la 1e fois que j'essaie de rédiger un journal intime, et dans ces précédentes ébauches je parlais autant de ma vie - qui était hautement plus intéressante puisqu'elle se déroulait au collège puis au lycée, une vie remplie essentiellement de déboires amoureux à sens unique - que de tout ce qui m'énervait autour, la politique, la télé, l'actu, tout ça quoi. Là ma vie est intéressante pour moi mais pas pour les gens, et croyez-moi je ne dis pas ça pour me faire plaindre, c'est vrai. Si je n'avais pas mon Amour pour l'égayer - ou la compliquer, c'est selon, mais si les femmes ne compliquaient pas la vie des hommes, cette dernière serait-elle encore intéressante à vivre ? - ma vie serait probablement aussi indigeste à lire pour vous qu'un verre d'eau minérale un soir de Nouvel An. Et encore, je me ménage.
Mon quotidien en ce moment ce sont des phases de repos pas vraiment calquées sur le reste de la population, et des phases plus chargées en boulot. Par exemple, ce soir se termine mon "week-end" - ce qui serait en l'occurence plus juste de nommer "week-middle" - puisqu'à partir de demain je bosse jusqu'à mercredi soir, quasiment sans interruption, hormis quand je dors en quelques sortes. Ah si, je me repose mercredi matin, vu que je commence à 15h pour finir à minuit. Je ne me plains pas, dans la mesure ou j'ai pris le pli et que j'endure difficilement les journées de repos. Par exemple hier je débouchais d'une série de 8 jours de boulot quasi sans interruption en 9 jours, et encore le jour de repos je suis allé gâcher mes dernières illusions d'être un jour l'avant-centre du PSG sur un terrain de foot du Bois de Vincennes avec des potes. Les mauvaises langues diront que je suis dur avec moi-même, puisque j'avais franchement le niveau pour ça, mais ce n'est pas un compliment venant de ces mêmes mauvaises langues. Du coup j'ai mis 2 jours pour me remettre de ces 3 misérables quart d'heure - maximum - de sport, et en plus je commentais un match le soir même sur Sport24. Du coup j'ai du faire l'aller retour rien que pour prendre une douche, autant dire que je n'ai pas arrêté. Comme journée de repos, je repasserais.
Du coup, hier j'ai rien fais, j'ai glandé au lit devant la télé avec mon Amour, et mon corps n'a pas aimé, contrairement à tous les pronostics. Je me suis retrouvé avec une de ces migraines récurrentes qui avaient poussé a mère à m'emmener voir un toubib quand j'étais gosse. Celle-ci n'a pas eu à rougir de la comparaison avec ses devancières. Elle était franche, mouvante au point que je devais fermer les yeux fortement pour me soulager, ou en avoir l'impression. Tout ça parce que je ne faisais rien, que je ne pensais à rien. Qui a dit que le travail c'est la santé ? Non seulement c'est dur en soit, mais en plus quand tu veux glander lors de tes phases de repos ton corps proteste. Sans rire, plus je vieillis et plus je crois que l'homme n'est pas fait pour travailler. Heureusement que j'aime mon boulot. MES boulots.
N'en déplaise à notre Petit Père des Peuples, je n'ai aucune difficulté à me lever le matin, d'une part parce qu'il y a pire que 8h pour se réveiller et aussi parce que j'ai hâte d'être au taf. Hier j'ai du me forcer pour ne pas compléter ce que je faisais depuis 2 jours, à savoir tous les matches de l'équipe d'Autriche depuis 1982. En fait, il ne me reste que la 1e partie de 1982, dont la Coupe du Monde, autant dire qu'en une heure environ c'est terminé, peut-être un peu plus. J'avais envie de finir ça comme ça, de chez moi, vite fait, en dehors de mes heures de boulot. Sauf que mon amour n'aurait vraiment pas apprécié, pour une fois qu'on avait un jour entier à nous consacrer... je la comprends évidemment, donc je n'ai rien fait, mais rien que le fait de devoir me forcer est assez symptomatique, pardon à l'inventeur de ce mot si je l'ai écorché. Pas sûr qu'il me lise, mais on ne sait jamais.
Je pars vers 8h45, avec Nagui et Manu dans les feuilles. Je crois que la radio sur les téléphones est une des meilleures inventions depuis le numérique, parole d'un type qui n'y connait absolument rien en nouvelle technologie. C'est tout con, personne ne l'a mis en gros dans ses pubs pour vendre des téléphones, n'empêche que c'est vraiment génial. Bref donc je pars pour prendre le RER vers 9h, tranquille. A mon arrivée dans le quartier je me prends parfois un pain au chocolat ou au raisin, plus que parfois même. Ben oui, quand la vendeuse vous reconnaît et vous en offre même un, c'est que vous êtes ce qu'on appelle un habitué. Mais bon, c'est pas tous les jours non plus, hein, je tiens à ma ligne moi. On ne rit pas dans le fond, merci. D'ailleurs, je vais au taf rarement plus de 3 fois par semaine, le reste c'est souvent de chez moi que je travaille.
J'arrive à la boutique toujours le 1er, vers 10h moins 10. J'adore ça, j'ai le temps de me poser après avoir levé le rideau - comme quand je bossais à la Halle aux Vêtements ou à la Samaritaine, comme quoi y a des choses qui ne changent pas - et allumé les lumières, je vais sur le net, etc. De toutes façons j'ai toujours préféré arriver en avance, dans n'importe quelle situation. D'abord parce que je ne supporte pas les gens qui sont en retard, si y a un truc qui prouve qu'on se fiche de vous, un manque de respect avéré, c'est bien le retard récurrent. Y a des gens spécialistes dans ce domaine, oui oui, des gens qui font sans doute ça pour bien nous signifier combien leur vie est fournie en choses plus intéressantes que nous, et surtout des gens qui aiment se faire désirer, genre... je ne citerais pas de nom, de toutes façons tout le monde en a des comme ça dans son entourage, voire en sont eux-même et se reconnaîtront... ou pas.
L'autre raison pour laquelle j'aime arriver en avance c'est que comme ça j'ai pas une série de gens à qui dire bonjour, je ne suis pas le centre de l'attention, ça c'est top. Ca vous est déjà arrivé d'arriver (héhé) au resto ou 15 de vos amis vous attendent, et ou vous devez embrasser ou saluer 15 personnes d'affilée, pas vrai ? Relou hein ? Ou encore pire, vous arrivez et vous faites "bonjour bonjour, je vais pas faire le tour eh oh". How rude... Au moins je suis déjà là, les gens arrivent, me serrent la pogne, basta, voilà, what else ? C'est quand même plus tranquille comme ça.
Bref donc là je bosse. Chaque mois j'ai une série d'objectifs les plus divers à réaliser, mais je m'organise comme je veux. Quand j'ai commencé à bosser, mon chef m'a demandé comment je voulais bosser, objectif après objectif ou si je voulais mixer un peu, j'ai préféré mixer. Chaque jour je fais un truc le matin, et un ou 2 trucs l'aprèm, c'est jamais la même chose, l'essentiel étant qu'à la fin j'ai fini. C'est le pied quoi. Pour l'instant ça se passe bien, j'ai toujours été dans les temps, ça fait plaisir. Là il vient de me refiler mes objectifs de mai, c'est imposant mais ça devrait aller. Et surtout j'ai hâte de m'y mettre : des articles, enfin, du contenu éditorial, miam. Des articles sur l'histoire du foot en plus, tout ce que j'aime, y a tellement à raconter... Y a pas grand chose que je n'aime pas dans ce boulot, en fait. Pourvu que ça dure.
A midi j'ai le choix entre un McDo, un KFC (miam - oui je sais...), une brasserie, un Grec ou un Chinois. Là aussi j'alterne, je ne vais jamais au même endroit à la fois. Par exemple, ça fait un moment que je ne suis pas allé au KFC, ils doivent commencer à s'inquiéter... Sinon y a aussi le G20, problème à midi j'en profite pour lire et/ou aller aux toilettes, c'est pas évident là-bas, je sais pas si vous avez essayé. Remarquez pour ça y a le Père Lachaise à quelques dizaines de mètres, c'est plus que sympa en ce moment ce coin. La particularité des 3 dernières solutions - je ne compte pas le G20 -, c'est que je suis reconnu, et qu'ils sont sympas, ils te disent bonjour, on se croirait dans un village ou tout le monde se connaît. J'adore ce quartier, malgré les étudiants débiles du Lycée Voltaire, du moins ceux qui dansent la tecktonick devant le lycée et qui croient que si on a fusillé tous les porteurs de la coupe mulet en 1991 c'était parce qu'on n'avait rien d'autre à faire. Sérieusement les jeunes... si vous vouliez copier votre paternel à ses heures gloieuses, vous auriez pu... euh... chais pas moi... ne pas le faire par exemple. En tous cas, si Harald Schumacher, Chris Waddle ou Tony Vairelles vous réclament des droits d'auteur dès qu'ils seront sortis de thérapie, vous ne viendrez pas pigner.
Y a aussi les graines de bobo à coupe soigneusement étudiée pour paraître pas du tout étudiée, genre je viens de me lever, je n'ai pas du tout passé 2 heures dans la salle de bain de papa pour ça, je suis un putain de rebelle quoi merde. Tout ces cheveux... que c'est agaçant...
Le soir, parfois mon Amour vient me chercher, sinon je la rejoins sur Paris, en général vers Opéra, ou on prend le RER ensemble, du moins quand on ne décide pas d'aller au ciné, comme ça, sur un coup de tête. On arrive vers 20h30, on mange et on glande, puis dodo, voilà. C'était ma vie. Je sais, ça ressemble furieusement à métro boulot dodo, mais qui n'y est pas condamné ? Bravo à ceux qui sont allés au bout en tous cas.
Ah, y a aussi quand je bosse de chez moi, ou quand je commente chez Sport24... mais je crois que j'ai été déjà assez long comme ça.
Je vous laisse !
Pour changer un peu des posts sur les grands problèmes de ce monde (Tibet, Sarkozy, le PSG...) et après une nouvelle période sans le moindre post à vous soumettre, je vais me mettre à parler de moi, et de ma vie en particulier.
Le moins que l'on puisse dire, et mes amis vous le diraient évidemment mieux que moi, c'est que parler de moi est comparable à la difficulté que ressentirait Luis Fernandez à parler du modèle scolaire finlandais. Sauf que lui ce serait un empêchement logique, alors que moi... c'est logique aussi, simplement je suis vraiment mal à l'aise avec ça, je n'aime vraiment pas ça du tout. Autant demander à Jamel de vous montrer sa main... non l'autre ! Bref.
Ce n'est pas la 1e fois que j'essaie de rédiger un journal intime, et dans ces précédentes ébauches je parlais autant de ma vie - qui était hautement plus intéressante puisqu'elle se déroulait au collège puis au lycée, une vie remplie essentiellement de déboires amoureux à sens unique - que de tout ce qui m'énervait autour, la politique, la télé, l'actu, tout ça quoi. Là ma vie est intéressante pour moi mais pas pour les gens, et croyez-moi je ne dis pas ça pour me faire plaindre, c'est vrai. Si je n'avais pas mon Amour pour l'égayer - ou la compliquer, c'est selon, mais si les femmes ne compliquaient pas la vie des hommes, cette dernière serait-elle encore intéressante à vivre ? - ma vie serait probablement aussi indigeste à lire pour vous qu'un verre d'eau minérale un soir de Nouvel An. Et encore, je me ménage.
Mon quotidien en ce moment ce sont des phases de repos pas vraiment calquées sur le reste de la population, et des phases plus chargées en boulot. Par exemple, ce soir se termine mon "week-end" - ce qui serait en l'occurence plus juste de nommer "week-middle" - puisqu'à partir de demain je bosse jusqu'à mercredi soir, quasiment sans interruption, hormis quand je dors en quelques sortes. Ah si, je me repose mercredi matin, vu que je commence à 15h pour finir à minuit. Je ne me plains pas, dans la mesure ou j'ai pris le pli et que j'endure difficilement les journées de repos. Par exemple hier je débouchais d'une série de 8 jours de boulot quasi sans interruption en 9 jours, et encore le jour de repos je suis allé gâcher mes dernières illusions d'être un jour l'avant-centre du PSG sur un terrain de foot du Bois de Vincennes avec des potes. Les mauvaises langues diront que je suis dur avec moi-même, puisque j'avais franchement le niveau pour ça, mais ce n'est pas un compliment venant de ces mêmes mauvaises langues. Du coup j'ai mis 2 jours pour me remettre de ces 3 misérables quart d'heure - maximum - de sport, et en plus je commentais un match le soir même sur Sport24. Du coup j'ai du faire l'aller retour rien que pour prendre une douche, autant dire que je n'ai pas arrêté. Comme journée de repos, je repasserais.
Du coup, hier j'ai rien fais, j'ai glandé au lit devant la télé avec mon Amour, et mon corps n'a pas aimé, contrairement à tous les pronostics. Je me suis retrouvé avec une de ces migraines récurrentes qui avaient poussé a mère à m'emmener voir un toubib quand j'étais gosse. Celle-ci n'a pas eu à rougir de la comparaison avec ses devancières. Elle était franche, mouvante au point que je devais fermer les yeux fortement pour me soulager, ou en avoir l'impression. Tout ça parce que je ne faisais rien, que je ne pensais à rien. Qui a dit que le travail c'est la santé ? Non seulement c'est dur en soit, mais en plus quand tu veux glander lors de tes phases de repos ton corps proteste. Sans rire, plus je vieillis et plus je crois que l'homme n'est pas fait pour travailler. Heureusement que j'aime mon boulot. MES boulots.
N'en déplaise à notre Petit Père des Peuples, je n'ai aucune difficulté à me lever le matin, d'une part parce qu'il y a pire que 8h pour se réveiller et aussi parce que j'ai hâte d'être au taf. Hier j'ai du me forcer pour ne pas compléter ce que je faisais depuis 2 jours, à savoir tous les matches de l'équipe d'Autriche depuis 1982. En fait, il ne me reste que la 1e partie de 1982, dont la Coupe du Monde, autant dire qu'en une heure environ c'est terminé, peut-être un peu plus. J'avais envie de finir ça comme ça, de chez moi, vite fait, en dehors de mes heures de boulot. Sauf que mon amour n'aurait vraiment pas apprécié, pour une fois qu'on avait un jour entier à nous consacrer... je la comprends évidemment, donc je n'ai rien fait, mais rien que le fait de devoir me forcer est assez symptomatique, pardon à l'inventeur de ce mot si je l'ai écorché. Pas sûr qu'il me lise, mais on ne sait jamais.
Je pars vers 8h45, avec Nagui et Manu dans les feuilles. Je crois que la radio sur les téléphones est une des meilleures inventions depuis le numérique, parole d'un type qui n'y connait absolument rien en nouvelle technologie. C'est tout con, personne ne l'a mis en gros dans ses pubs pour vendre des téléphones, n'empêche que c'est vraiment génial. Bref donc je pars pour prendre le RER vers 9h, tranquille. A mon arrivée dans le quartier je me prends parfois un pain au chocolat ou au raisin, plus que parfois même. Ben oui, quand la vendeuse vous reconnaît et vous en offre même un, c'est que vous êtes ce qu'on appelle un habitué. Mais bon, c'est pas tous les jours non plus, hein, je tiens à ma ligne moi. On ne rit pas dans le fond, merci. D'ailleurs, je vais au taf rarement plus de 3 fois par semaine, le reste c'est souvent de chez moi que je travaille.
J'arrive à la boutique toujours le 1er, vers 10h moins 10. J'adore ça, j'ai le temps de me poser après avoir levé le rideau - comme quand je bossais à la Halle aux Vêtements ou à la Samaritaine, comme quoi y a des choses qui ne changent pas - et allumé les lumières, je vais sur le net, etc. De toutes façons j'ai toujours préféré arriver en avance, dans n'importe quelle situation. D'abord parce que je ne supporte pas les gens qui sont en retard, si y a un truc qui prouve qu'on se fiche de vous, un manque de respect avéré, c'est bien le retard récurrent. Y a des gens spécialistes dans ce domaine, oui oui, des gens qui font sans doute ça pour bien nous signifier combien leur vie est fournie en choses plus intéressantes que nous, et surtout des gens qui aiment se faire désirer, genre... je ne citerais pas de nom, de toutes façons tout le monde en a des comme ça dans son entourage, voire en sont eux-même et se reconnaîtront... ou pas.
L'autre raison pour laquelle j'aime arriver en avance c'est que comme ça j'ai pas une série de gens à qui dire bonjour, je ne suis pas le centre de l'attention, ça c'est top. Ca vous est déjà arrivé d'arriver (héhé) au resto ou 15 de vos amis vous attendent, et ou vous devez embrasser ou saluer 15 personnes d'affilée, pas vrai ? Relou hein ? Ou encore pire, vous arrivez et vous faites "bonjour bonjour, je vais pas faire le tour eh oh". How rude... Au moins je suis déjà là, les gens arrivent, me serrent la pogne, basta, voilà, what else ? C'est quand même plus tranquille comme ça.
Bref donc là je bosse. Chaque mois j'ai une série d'objectifs les plus divers à réaliser, mais je m'organise comme je veux. Quand j'ai commencé à bosser, mon chef m'a demandé comment je voulais bosser, objectif après objectif ou si je voulais mixer un peu, j'ai préféré mixer. Chaque jour je fais un truc le matin, et un ou 2 trucs l'aprèm, c'est jamais la même chose, l'essentiel étant qu'à la fin j'ai fini. C'est le pied quoi. Pour l'instant ça se passe bien, j'ai toujours été dans les temps, ça fait plaisir. Là il vient de me refiler mes objectifs de mai, c'est imposant mais ça devrait aller. Et surtout j'ai hâte de m'y mettre : des articles, enfin, du contenu éditorial, miam. Des articles sur l'histoire du foot en plus, tout ce que j'aime, y a tellement à raconter... Y a pas grand chose que je n'aime pas dans ce boulot, en fait. Pourvu que ça dure.
A midi j'ai le choix entre un McDo, un KFC (miam - oui je sais...), une brasserie, un Grec ou un Chinois. Là aussi j'alterne, je ne vais jamais au même endroit à la fois. Par exemple, ça fait un moment que je ne suis pas allé au KFC, ils doivent commencer à s'inquiéter... Sinon y a aussi le G20, problème à midi j'en profite pour lire et/ou aller aux toilettes, c'est pas évident là-bas, je sais pas si vous avez essayé. Remarquez pour ça y a le Père Lachaise à quelques dizaines de mètres, c'est plus que sympa en ce moment ce coin. La particularité des 3 dernières solutions - je ne compte pas le G20 -, c'est que je suis reconnu, et qu'ils sont sympas, ils te disent bonjour, on se croirait dans un village ou tout le monde se connaît. J'adore ce quartier, malgré les étudiants débiles du Lycée Voltaire, du moins ceux qui dansent la tecktonick devant le lycée et qui croient que si on a fusillé tous les porteurs de la coupe mulet en 1991 c'était parce qu'on n'avait rien d'autre à faire. Sérieusement les jeunes... si vous vouliez copier votre paternel à ses heures gloieuses, vous auriez pu... euh... chais pas moi... ne pas le faire par exemple. En tous cas, si Harald Schumacher, Chris Waddle ou Tony Vairelles vous réclament des droits d'auteur dès qu'ils seront sortis de thérapie, vous ne viendrez pas pigner.
Y a aussi les graines de bobo à coupe soigneusement étudiée pour paraître pas du tout étudiée, genre je viens de me lever, je n'ai pas du tout passé 2 heures dans la salle de bain de papa pour ça, je suis un putain de rebelle quoi merde. Tout ces cheveux... que c'est agaçant...
Le soir, parfois mon Amour vient me chercher, sinon je la rejoins sur Paris, en général vers Opéra, ou on prend le RER ensemble, du moins quand on ne décide pas d'aller au ciné, comme ça, sur un coup de tête. On arrive vers 20h30, on mange et on glande, puis dodo, voilà. C'était ma vie. Je sais, ça ressemble furieusement à métro boulot dodo, mais qui n'y est pas condamné ? Bravo à ceux qui sont allés au bout en tous cas.
Ah, y a aussi quand je bosse de chez moi, ou quand je commente chez Sport24... mais je crois que j'ai été déjà assez long comme ça.
Je vous laisse !
1 commentaire:
je suis allée au bout et je veux la suite !!!
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