lundi 28 juillet 2008

Donostia, Baiona, Irunea...


Salut à tous !

Oui, une semaine que j'ai pas écris ici, c'est long, je sais, je sais, mais éloignez cette lame de rasoir de vos veines, écartez-vous de ce précipice, ne mettez pas sur vos oreilles ce casque diffusant l'album de Greg le Millionnaire, oui, la vie ne vaut rien, je sais, mais vous savez, entre nous, rien ne vaut la vie. Cacedédi.

J'ai une bonne excuse pour ça, un mot pour expliquer mon absence sur ce blog : mes vacances au Pays Basque. Je qualifierais cette semaine d'un adjectif galvaudé et, qui plus est, déposé à la SACEM par mon Amour, peu avare dès qu'il s'agit de l'employer : magique. Un bonheur pur et vrai, un instant de grâce. Je rêvais de découvrir les Pyrénées, et c'était mieux que dans mes rêves. Je craignais les foudres si réputées du ciel si bas du Pays Basque, on a eu que trois gouttes le premier jour, et du soleil tout le temps. Je ne connaissais pas l'Espagne, ce pays dévoreur de trophées sportifs cette année, cette anomalie est réparée. Je ne m'étais plus baigné dans un torrent de montagne, glacé, pur et régénérateur, depuis 17 ans, et depuis j'ai l'impression étrangement vivace d'avoir rajeuni. Le Pays Basque et ses montagnes rondes et recouvertes de forêts, ses frontons, ses églises sommaires mais imposantes, ses routes ondoyantes, ses fromages parfumés, sa cuisine fine et forte, ses plages brûlantes, m'ont ensorcelés.

Et en plus j'ai bronzé sans cramer, ce qui ne gâte rien.

Je vous prépare un long post de racontage de derrière les fagots, dès que je suis redescendu sur terre.

A bientôt !

1 commentaire:

Mona a dit…

la suite la suite la suite !