Salut à tous,
Je viens de passer un bon petit week-end entre amis, comme on en a l'habitude en cette période de l'année. Et, comme vous avez également du le constater, de là où vous étiez, il faisait un temps que même le mois de mai aurait eu du mal à héberger en son sein. Il y a un peu plus d'un an, nous pataugions, mon Amour et moi, dans la campagne neigeuse, glacée et humide - mais magnifique - de l'Ile de Skye. Ce week-end, j'ai cramé sur les avant-bras, le visage et dans le cou. Et j'ai la haine de n'avoir pas pensé à emmener un bermuda... ça m'arrive rarement d'en porter, vers le 25 mars, d'habitude. Merci le réchauffement de la planète.
Nous sommes allés un peu plus loin que d'habitude cette fois, aux confins de la Sarthe et de l'Indre-et-Loire, à Château-Lavalière, vers la Flèche, que mon papa sarthois connaît bien puisqu'il y a poussé ses premiers cris, il y a... quelques années. On y a déniché une maison assez extraordinaire, construite dans un ancien corps de ferme. Deux étages, reliés par un très joli escalier en bois et en colimaçon ; des chambres très vastes, notamment la nôtre, sous le toit, où nous avons pu dormir à six sans se marcher dessus (les parents et leurs rejetons dormaient à l'étage d'en-dessous) ; un salon extrêmement vaste, à la déco certes un peu ratée, mais qui nous a permit quand même de se faire un apéro dinatoire puis un nuit de jeu avec une aisance remarquable ; et un terrain, immense. Jamais, je crois, nous avions eu droit à un terrain de cette taille.
Notre bâtiment, en U, encadrait déjà une grande place de gravillons, où les voitures ne parvenaient même pas à gêner le filet de badmington et la table que nous avions installé pour profiter du soleil lors des repas de midi. Le bâtiment du milieu hébergeait d'ailleurs une table de ping-pong qui a bien servi, vous vous en doutez... mais si vous alliez derrière le troisième bâtiment, auquel nous n'avions accès que pour récupérer le barbecue et les parasols, vous passiez une barrière pour vous retrouver sur une grande étendue carrée de béton, suivie d'une autre, immense, recouverte d'herbe. La première portait en son coin le plus éloigné un panneau de basket (avec son ballon), qui a pas mal servi, notamment à votre serviteur, qui a découvert que ce sport, même pratiqué seul, est idéal pour se passer les nerfs, surtout quand on a un caractère sur ressors, comme moi. Non pas que j'avais des motifs de m'énerver, loin de là... au contraire, même. Mais je n'ai pas toujours besoin de motifs pour être sur les nerfs, je le suis constamment. En tous cas, je me suis étonné par le nombre de paniers que je réussissais... cette fois c'est sûr, je suis passé à côté d'une carrière, pas d'avant-centre du PSG comme j'en rêvais, mais comme pivot... du PSG. Certaines choses ne changent pas.
L'autre hébergeait un petit but en bois, mais nous ne l'avons pas utilisé - pas de ballon adéquat. En revanche, nous y avons fêté trois anniversaires, en y faisant un petit goûter bien sympathique, riche de trois gâteaux tous plus délicieux les uns que les autres. Enfin... le Carrot Cake de mon Ange était quand même un petit peu au-dessus des autres :D
Je faisais partie des trois "fêtés", et oui, c'est pour bientôt. Jeudi, je franchis une nouvelle étape vers le milieu présumé de ma vie, et la glissade qui s'en suivra vers la fin, derrière :p Vous le savez, je déteste fêter mon anniversaire, mais je dois dire que le faire avec mes amis, leurs enfants, qui laissent leurs traces de main dans le gâteau parce que, soyons réaliste, on peut pas résister, ça atténue quand même un peu le choc. Et puis en plus j'ai été gâté par mon binôme de cadeaux, que je vais tenter de gâter au moins autant en retour, en juillet prochain. Bref, c'était cool. Mais quand même, je ne le fêterais pas l'année prochaine, je le dis tous les ans mais cette fois c'est sûr :p
J'ai donc passé un super week-end, riche de fou-rires - ça m'arrive rarement, mais cette fois j'en ai eu un qui fera date - de bonnes bouffes et de soleil, et pourtant ce n'était pas gagné. A cause d'une lombalgie aiguë attrapée le matin même du départ, j'ai bien cru ne pas pouvoir partir. Heureusement qu'on partait tard... j'en ai profité pour me traîner chez le docteur, qui m'a fait poireauter deux heures (!) avant de me refiler des antiinflammatoires et des anti douleurs, surtout en vue des trois heures de route qui m'attendaient... Ce matin ça va un peu mieux, même si j'ai encore le dos un peu raide.
J'espère que la prochaine fois, je serais en meilleure forme !
Je vous laisse.
Je viens de passer un bon petit week-end entre amis, comme on en a l'habitude en cette période de l'année. Et, comme vous avez également du le constater, de là où vous étiez, il faisait un temps que même le mois de mai aurait eu du mal à héberger en son sein. Il y a un peu plus d'un an, nous pataugions, mon Amour et moi, dans la campagne neigeuse, glacée et humide - mais magnifique - de l'Ile de Skye. Ce week-end, j'ai cramé sur les avant-bras, le visage et dans le cou. Et j'ai la haine de n'avoir pas pensé à emmener un bermuda... ça m'arrive rarement d'en porter, vers le 25 mars, d'habitude. Merci le réchauffement de la planète.
Nous sommes allés un peu plus loin que d'habitude cette fois, aux confins de la Sarthe et de l'Indre-et-Loire, à Château-Lavalière, vers la Flèche, que mon papa sarthois connaît bien puisqu'il y a poussé ses premiers cris, il y a... quelques années. On y a déniché une maison assez extraordinaire, construite dans un ancien corps de ferme. Deux étages, reliés par un très joli escalier en bois et en colimaçon ; des chambres très vastes, notamment la nôtre, sous le toit, où nous avons pu dormir à six sans se marcher dessus (les parents et leurs rejetons dormaient à l'étage d'en-dessous) ; un salon extrêmement vaste, à la déco certes un peu ratée, mais qui nous a permit quand même de se faire un apéro dinatoire puis un nuit de jeu avec une aisance remarquable ; et un terrain, immense. Jamais, je crois, nous avions eu droit à un terrain de cette taille.
Notre bâtiment, en U, encadrait déjà une grande place de gravillons, où les voitures ne parvenaient même pas à gêner le filet de badmington et la table que nous avions installé pour profiter du soleil lors des repas de midi. Le bâtiment du milieu hébergeait d'ailleurs une table de ping-pong qui a bien servi, vous vous en doutez... mais si vous alliez derrière le troisième bâtiment, auquel nous n'avions accès que pour récupérer le barbecue et les parasols, vous passiez une barrière pour vous retrouver sur une grande étendue carrée de béton, suivie d'une autre, immense, recouverte d'herbe. La première portait en son coin le plus éloigné un panneau de basket (avec son ballon), qui a pas mal servi, notamment à votre serviteur, qui a découvert que ce sport, même pratiqué seul, est idéal pour se passer les nerfs, surtout quand on a un caractère sur ressors, comme moi. Non pas que j'avais des motifs de m'énerver, loin de là... au contraire, même. Mais je n'ai pas toujours besoin de motifs pour être sur les nerfs, je le suis constamment. En tous cas, je me suis étonné par le nombre de paniers que je réussissais... cette fois c'est sûr, je suis passé à côté d'une carrière, pas d'avant-centre du PSG comme j'en rêvais, mais comme pivot... du PSG. Certaines choses ne changent pas.
L'autre hébergeait un petit but en bois, mais nous ne l'avons pas utilisé - pas de ballon adéquat. En revanche, nous y avons fêté trois anniversaires, en y faisant un petit goûter bien sympathique, riche de trois gâteaux tous plus délicieux les uns que les autres. Enfin... le Carrot Cake de mon Ange était quand même un petit peu au-dessus des autres :D
Je faisais partie des trois "fêtés", et oui, c'est pour bientôt. Jeudi, je franchis une nouvelle étape vers le milieu présumé de ma vie, et la glissade qui s'en suivra vers la fin, derrière :p Vous le savez, je déteste fêter mon anniversaire, mais je dois dire que le faire avec mes amis, leurs enfants, qui laissent leurs traces de main dans le gâteau parce que, soyons réaliste, on peut pas résister, ça atténue quand même un peu le choc. Et puis en plus j'ai été gâté par mon binôme de cadeaux, que je vais tenter de gâter au moins autant en retour, en juillet prochain. Bref, c'était cool. Mais quand même, je ne le fêterais pas l'année prochaine, je le dis tous les ans mais cette fois c'est sûr :p
J'ai donc passé un super week-end, riche de fou-rires - ça m'arrive rarement, mais cette fois j'en ai eu un qui fera date - de bonnes bouffes et de soleil, et pourtant ce n'était pas gagné. A cause d'une lombalgie aiguë attrapée le matin même du départ, j'ai bien cru ne pas pouvoir partir. Heureusement qu'on partait tard... j'en ai profité pour me traîner chez le docteur, qui m'a fait poireauter deux heures (!) avant de me refiler des antiinflammatoires et des anti douleurs, surtout en vue des trois heures de route qui m'attendaient... Ce matin ça va un peu mieux, même si j'ai encore le dos un peu raide.
J'espère que la prochaine fois, je serais en meilleure forme !
Je vous laisse.
1 commentaire:
Oui très belle maison, des amis presque parfaits et un soleil radieux ...
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