Hello ! Bienvenue pour la suite de mes aventures chez les Caribous. Et je ne dis pas ça que pour rigoler.
Le lendemain, deuxième jour de repos de nos amis qui devront par la suite reprendre le boulot, malheureusement, on file à nouveau à la campagne, dans un patelin qui se nomme, je ne peux pas l'inventer, Saint-Adolphe-Howard, cette fois pour faire ce qu'ils appellent du Skidoo, de la motoneige quoi. De la moto. Dans la neige. Là encore, je balise un max, et j'aurais trouvé ça fabuleux, avec ce long départ à pleine vitesse sur un immense lac gelé, puis s'éclater dans les forêt (ça l'était vraiment, qu'est-ce que je kiffais... peut-être même un peu trop) si je ne m'étais pas rétamé comme une merde dans un virage, en haut d'une côte, avec mon pote Z derrière moi... une des peurs de ma vie, pour moi et mon pote. Heureusement, on a eu de la chance : rien de cassé (faut juste que je fasse examiner mon épaule, qui me lance depuis), notamment pour Z, et quasiment rien à la machine, donc des frais minimaux... n'empêche, ça m'a bouffé la journée. Quel crétin !
Pour me remettre de mes émotions, on va quand même visiter une petite ville à côté, Saint-Sauveur. Là-bas, on y mangera comme gouter l'équivalent local des fameuses queues de castors dont ils raffolent ici... oui oui, y a du sucre dessus, vous avez deviné.
Après ça, direction une des très nombreuses fabriques de sirop d'érable du pays, qu'ils appellent là-bas des Cabanes à Sucre. C'est simple : à la meilleure période de l'année, à la fin de l'hiver - encore un coup de bol pour nous - ils branchent les érables à des tuyaux, et ça coule, ça coule... au début, ce qu'il récoltent ne contient que 3 % de sucre. Y en a beaucoup plus à la fin, vous vous en doutez. On peut visiter la forêt, et on peut aussi manger là-bas, à toute heure de la journée. La salle est immense, parfaite pour les mariages, les fêtes. Et pour un prix modique, vous pouvez manger des plats tous à base de sirop d'érable... à volonté. Si si, à volonté ! De grands malades, ces Québécois ! Inutile de préciser que je me suis fais plaisir... ils mélangent tout avec leur sirop - omelettes, soupe de pois... - , et c'est toujours bon ! A la fin, on a calé sur les desserts... qu'on a un peu mangé quand même. Quel bonheur cette soirée.
Le lendemain, on est entre "Français", et on retourne visiter la ville, cette fois en parcourant la longue et très commerçante rue Sainte-Catherine, l'artère principale de la ville. On mange un burger à midi dans un resto un peu trop lounge à notre gout, et à notre sortie on est cueillis par une tempête de neige de derrière les fagots, qui nous fera tout le reste de la journée, et qui rendra Montréal intégralement blanc pour le reste de la journée. On s'en va quand même visiter le Stade Olympique, comme prévu, mais on le voit à peine, tant le plafond est bas et cotonneux. On va même galérer pour s'en sortir... j'aurais quand même vu (à peine) le stade Saputo, l'antre des Impacts de Montréal, qui jouxte de le Stade Olympique. Je vais voir les stades professionnels locaux, quels qu’ils soient, c'est une tradition... On file ensuite rejoindre nos amis à leur sortie de boulot. Et voilà.
Les Québécois sont tellement sympas. D'accord, ils sont à peine compréhensibles avec leur accent si... comique, il faut bien le dire, mais ils sont chaleureux, joviaux, accueillants... et leur manie de tout Franciser, c'est tellement rigolo ! Je vous donnerai peut-être quelques exemples au fil de ces posts... par exemple, pour dire "de rien", ils disent "bienvenue"... ben oui, on dit "you're welcome" en Anglais...
A plus tard !
Le lendemain, deuxième jour de repos de nos amis qui devront par la suite reprendre le boulot, malheureusement, on file à nouveau à la campagne, dans un patelin qui se nomme, je ne peux pas l'inventer, Saint-Adolphe-Howard, cette fois pour faire ce qu'ils appellent du Skidoo, de la motoneige quoi. De la moto. Dans la neige. Là encore, je balise un max, et j'aurais trouvé ça fabuleux, avec ce long départ à pleine vitesse sur un immense lac gelé, puis s'éclater dans les forêt (ça l'était vraiment, qu'est-ce que je kiffais... peut-être même un peu trop) si je ne m'étais pas rétamé comme une merde dans un virage, en haut d'une côte, avec mon pote Z derrière moi... une des peurs de ma vie, pour moi et mon pote. Heureusement, on a eu de la chance : rien de cassé (faut juste que je fasse examiner mon épaule, qui me lance depuis), notamment pour Z, et quasiment rien à la machine, donc des frais minimaux... n'empêche, ça m'a bouffé la journée. Quel crétin !
Pour me remettre de mes émotions, on va quand même visiter une petite ville à côté, Saint-Sauveur. Là-bas, on y mangera comme gouter l'équivalent local des fameuses queues de castors dont ils raffolent ici... oui oui, y a du sucre dessus, vous avez deviné.
Après ça, direction une des très nombreuses fabriques de sirop d'érable du pays, qu'ils appellent là-bas des Cabanes à Sucre. C'est simple : à la meilleure période de l'année, à la fin de l'hiver - encore un coup de bol pour nous - ils branchent les érables à des tuyaux, et ça coule, ça coule... au début, ce qu'il récoltent ne contient que 3 % de sucre. Y en a beaucoup plus à la fin, vous vous en doutez. On peut visiter la forêt, et on peut aussi manger là-bas, à toute heure de la journée. La salle est immense, parfaite pour les mariages, les fêtes. Et pour un prix modique, vous pouvez manger des plats tous à base de sirop d'érable... à volonté. Si si, à volonté ! De grands malades, ces Québécois ! Inutile de préciser que je me suis fais plaisir... ils mélangent tout avec leur sirop - omelettes, soupe de pois... - , et c'est toujours bon ! A la fin, on a calé sur les desserts... qu'on a un peu mangé quand même. Quel bonheur cette soirée.
Le lendemain, on est entre "Français", et on retourne visiter la ville, cette fois en parcourant la longue et très commerçante rue Sainte-Catherine, l'artère principale de la ville. On mange un burger à midi dans un resto un peu trop lounge à notre gout, et à notre sortie on est cueillis par une tempête de neige de derrière les fagots, qui nous fera tout le reste de la journée, et qui rendra Montréal intégralement blanc pour le reste de la journée. On s'en va quand même visiter le Stade Olympique, comme prévu, mais on le voit à peine, tant le plafond est bas et cotonneux. On va même galérer pour s'en sortir... j'aurais quand même vu (à peine) le stade Saputo, l'antre des Impacts de Montréal, qui jouxte de le Stade Olympique. Je vais voir les stades professionnels locaux, quels qu’ils soient, c'est une tradition... On file ensuite rejoindre nos amis à leur sortie de boulot. Et voilà.
Les Québécois sont tellement sympas. D'accord, ils sont à peine compréhensibles avec leur accent si... comique, il faut bien le dire, mais ils sont chaleureux, joviaux, accueillants... et leur manie de tout Franciser, c'est tellement rigolo ! Je vous donnerai peut-être quelques exemples au fil de ces posts... par exemple, pour dire "de rien", ils disent "bienvenue"... ben oui, on dit "you're welcome" en Anglais...
A plus tard !
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