Voilà notre dernière journée à Montréal, déjà. C'est passé beaucoup plus vite en l'écrivant qu'en le vivant, et c'est pas plus mal !
On est fatigué, et on part tard, direction le Plateau-Mont-Royal, un quartier commerçant et un peu chic, coincé entre le Mont Royal et le Stade Olympique, que l'on voit d'ailleurs de part et d'autres de l'avenue du Mont Royal, que l'on parcourra pendant un moment. Auparavant, j'aurais goûté une tire d'érable, autre petite spécialité locale, à laquelle j'avais renoncé à la fin d'un repas pantagruélique à la Cabane à Sucre, pour cause de plus de place dans le ventre. Ils font chauffer du sirop d'érable, ils le refroidissent sur de la glace, ils roulent ça sur un bâton, et après vous en avez plein les doigts et plein les dents. Autant j'apprécie le sirop d'érable, autant j'ai pas été convaincu.
Après l'avenue, on se glisse derrière pour visiter le quartier résidentiel qui la jouxte. Les maisons - des triplex, le plus souvent - sont vraiment belles, avec leurs escaliers en colimaçon, leurs couleurs... on doit être pas mal ici quand même. On y admire également la superbe église St-Stanislas. Après avoir acheté des bagels pour notre voyage en train du lendemain, on redescend ensuite en ville pour... retourner chez "Frites Alors", et déguster nos dernières poutines ! Je vois vos mines dégoutées de Français attachés à la cuisine fine, mais honnêtement c'est vraiment bon. Et des poutines, des vraies, on en aura pas souvent l'occasion d'en déguster dans notre vie. Et puis on ne va pas en Amérique du Nord pour manger de la grande cuisine, sinon autant rester en France, merde.
L'après-midi, direction le Centre Bell, la grande salle de spectacle de la ville, qui sert également d'écrin aux mythiques Canadiens de Montréal, la grande équipe de Hockey du pays, qui a accumulé une vingtaine de Stanley Cup dans son histoire, même si la dernière date de deux décennies... mais apparemment la prochaine risque d'être pour cette année, on leur aura porté bonheur. On sent qu'on est dans un pays qui n'hésite pas à assumer son amour pour le sport, et celui-là en particulier. Le "Temple de la Renommée" (Hall of Fame quoi, encore un Québéquisme...) rend hommage à plusieurs des joueurs mythiques de la franchise, avec l'aide de superbes statues, dont le socle énumère leurs statistiques. Malheureusement, je cherche en vain un maillot grande taille et pas trop cher pour mes emplettes... dommage.
Fin de la balade avec un retour sur la Place du Canada, après avoir longé la très belle et gothique Gare Windsor. Je suis très fatigué, je tombe de sommeil, nous rentrons en vitesse - après avoir fait d'autres courses pour le voyage - parce que nous avons peu de temps : ce soir, on sort. Nos amis nous emmènent aux Deux-Pierrots, un bar typiquement local avec une ambiance folle. Sur la scène, des artistes locaux (Serge Lachapelle, et sa chapka, et Gilbert Lauzon, pour ne pas les citer) enflamment sans problèmes la salle à deux étages, tandis qu'on se partage un seau de pop corns et que mes potes dégustent des cocktails à la couleur douteuse. Au programme, pas mal de chansons locales que le public reprend joyeusement, mais aussi... du Cabrel, du Joe Dassin, du Françoise Hardy... et même l'inévitable Gangnam Style. Rigolo, même si mes photos pourries le rendent mal. On s'éclate bien, et on rentre vers 1h du mat. On se couche à 3h, en calant nos réveils à 7... la journée va être longue.
A plus tard !
On est fatigué, et on part tard, direction le Plateau-Mont-Royal, un quartier commerçant et un peu chic, coincé entre le Mont Royal et le Stade Olympique, que l'on voit d'ailleurs de part et d'autres de l'avenue du Mont Royal, que l'on parcourra pendant un moment. Auparavant, j'aurais goûté une tire d'érable, autre petite spécialité locale, à laquelle j'avais renoncé à la fin d'un repas pantagruélique à la Cabane à Sucre, pour cause de plus de place dans le ventre. Ils font chauffer du sirop d'érable, ils le refroidissent sur de la glace, ils roulent ça sur un bâton, et après vous en avez plein les doigts et plein les dents. Autant j'apprécie le sirop d'érable, autant j'ai pas été convaincu.
Après l'avenue, on se glisse derrière pour visiter le quartier résidentiel qui la jouxte. Les maisons - des triplex, le plus souvent - sont vraiment belles, avec leurs escaliers en colimaçon, leurs couleurs... on doit être pas mal ici quand même. On y admire également la superbe église St-Stanislas. Après avoir acheté des bagels pour notre voyage en train du lendemain, on redescend ensuite en ville pour... retourner chez "Frites Alors", et déguster nos dernières poutines ! Je vois vos mines dégoutées de Français attachés à la cuisine fine, mais honnêtement c'est vraiment bon. Et des poutines, des vraies, on en aura pas souvent l'occasion d'en déguster dans notre vie. Et puis on ne va pas en Amérique du Nord pour manger de la grande cuisine, sinon autant rester en France, merde.
L'après-midi, direction le Centre Bell, la grande salle de spectacle de la ville, qui sert également d'écrin aux mythiques Canadiens de Montréal, la grande équipe de Hockey du pays, qui a accumulé une vingtaine de Stanley Cup dans son histoire, même si la dernière date de deux décennies... mais apparemment la prochaine risque d'être pour cette année, on leur aura porté bonheur. On sent qu'on est dans un pays qui n'hésite pas à assumer son amour pour le sport, et celui-là en particulier. Le "Temple de la Renommée" (Hall of Fame quoi, encore un Québéquisme...) rend hommage à plusieurs des joueurs mythiques de la franchise, avec l'aide de superbes statues, dont le socle énumère leurs statistiques. Malheureusement, je cherche en vain un maillot grande taille et pas trop cher pour mes emplettes... dommage.
Fin de la balade avec un retour sur la Place du Canada, après avoir longé la très belle et gothique Gare Windsor. Je suis très fatigué, je tombe de sommeil, nous rentrons en vitesse - après avoir fait d'autres courses pour le voyage - parce que nous avons peu de temps : ce soir, on sort. Nos amis nous emmènent aux Deux-Pierrots, un bar typiquement local avec une ambiance folle. Sur la scène, des artistes locaux (Serge Lachapelle, et sa chapka, et Gilbert Lauzon, pour ne pas les citer) enflamment sans problèmes la salle à deux étages, tandis qu'on se partage un seau de pop corns et que mes potes dégustent des cocktails à la couleur douteuse. Au programme, pas mal de chansons locales que le public reprend joyeusement, mais aussi... du Cabrel, du Joe Dassin, du Françoise Hardy... et même l'inévitable Gangnam Style. Rigolo, même si mes photos pourries le rendent mal. On s'éclate bien, et on rentre vers 1h du mat. On se couche à 3h, en calant nos réveils à 7... la journée va être longue.
A plus tard !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire