Salut à tous,
Hier soir, je feuilletais le "Principe de Dilbert" chez des amis. Dilbert, c'est génial, c'est trop drôle, c'est un descriptif impitoyable, terriblement acéré, du monde du travail, mais pas seulement. Et entre deux pouffages de rire incontrôlés, deux phrases m'ont interpellées. Et pour cause : elles exprimaient très exactement deux idées que je n'aurais sans doute jamais été capable de tourner aussi bien. Sans doute parce que les concepts de synthèse et de simplicité me sont tout simplement étrangers, vous avez dû vous en rendre contre en lisant ce blog.
Voici ces deux perles. La première s'applique on ne peut plus parfaitement au cas Domenech, et au traitement que ce dernier a subi durant l'essentiel de son mandat, et notamment les trois ou quatre dernières années. Surtout, elle colle parfaitement au comportement de tous ces blaireaux qui se sont pris pour des Hell's Angels en chiant sur Domenech, alors qu'ils ne faisaient que se laisser porter par les courants du fleuve, en tirant sur l'ambulance.


Sur ce, je vous laisse.
3 commentaires:
Je me demande si taper sur la surconsomation c'est pas un peu démagogique :p
Bah non parce que c'est populaire et répandu, comme le préfixe "sur" l'indique :p
Euh non, "sur", ça veut dire "trop" en locurence.
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